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  • Moubarak renversé! Révolution jusqu’à la victoire!

    Le tyran est parti! Après 18 jours de mobilisations révolutionnaires, après plus de 300 morts et des milliers de blessés, Hosni Moubarak a démissionné. C’est une grande victoire, non seulement pour le peuple d’Egypte, mais pour les travailleurs du monde entier. C’est le résultat d’un magnifique mouvement des masses, qui ont tenu tête aux balles et aux matraques de la police, et qui ont courageusement résisté à chacun des assauts de la réaction.

  • L’Egypte au bord de la guerre civile

    French translation of Egypt on the brink of civil war.

  • Egypte : la révolution n’a pas de frontière

    Cet article date du dimanche 30 janvier 2011. Le soulèvement populaire contre Hosni Moubarak se poursuit. Sur le papier, le président jouit d’un énorme pouvoir. Il passe des décrets. Il donne des ordres à l’armée. Il menace tous ceux qui bravent le couvre-feu. Mais personne n’obéit – et rien ne se passe.

  • La révolution égyptienne

    Cet article date du vendredi 28 janvier 2011. Les flammes de la colère se répandent à travers toute l’Egypte, et rien ne peut les arrêter. Le sort du régime de Moubarak est en jeu. Aujourd’hui [vendredi], il y a eu des affrontements violents dans les rues du Caire et d’autres villes d’Egypte. Le gouvernement avait prévenu les manifestants qu’ils feraient face à toute la puissance de l’Etat.

  • Egypte : la révolte se poursuit

    Cet article date du jeudi 27 janvier. Depuis, le nombre de morts s’élève au moins à huit. Les manifestations de masse exigeant la démission du Président égyptien Hosni Moubarak se sont poursuivies, depuis mardi, dans plusieurs villes du pays, y compris Le Caire et Suez. Dans la ville de Suez, les manifestants ont mis le feu au siège local du parti au pouvoir, le PND. Des travailleurs ont participé à des affrontements à Helwan, au sud du Caire. Au cours de la dernière période, les travailleurs d’Helwan avaient organisé des grèves pour défendre leurs conditions de travail, et certains sont actuellement jugés par des tribunaux militaires.

  • Tunisie : le piège de l’« union nationale »

    La mobilisation massive des jeunes et des travailleurs tunisiens a arraché une première victoire. Ben Ali et sa famille, qui ont pillé le pays pendant des décennies, sont partis. Les réactionnaires au pouvoir en Algérie, au Maroc, en Libye, en Egypte, en Jordanie et en Arabie Saoudite ont suivi avec terreur les événements en Tunisie.

  • Tunisie: Ben Ali est parti. Il faut chasser ses complices !

    Ben Ali a quitté le pouvoir. Face à l’ampleur de la révolte des jeunes et des travailleurs du pays, il n’avait d’autre choix que de s’enfuir. C’est une grande victoire qui ouvre la perspective du renversement définitif de la dictature.

  • « Etat d’alerte » contre une grève dans les aéroports espagnols : un dangereux précédent

    Pour la première fois depuis la chute du franquisme, le gouvernement socialiste espagnol a décrété « l’état d’alerte » (estado de alarma) pour mettre fin à une grève : celle des contrôleurs aériens, le 4 décembre dernier. Ce décret constitue une menace sérieuse pour les grèves à venir.

  • Venezuela : pour une nouvelle offensive contre l’oligarchie capitaliste!

    Le 17 décembre dernier, les députés du Parti Socialiste Unifié du Venezuela (PSUV) ont voté une nouvelle loi d’habilitation qui permet à Hugo Chavez de prendre des mesures rapides, par décret, au cours des 18 prochains mois. Le Président du Venezuela pourra légiférer dans les domaines suivants : infrastructure, transports, services publics, logement, finances, fiscalité, utilisation des terres urbaines et rurales, sécurité civile, défense nationale, coopération internationale et « système socio-économique ».

  • La Révolution Mexicaine de 1910-1920

    Cette année marque le centenaire de l’un des plus grands événements de l’histoire moderne. Le 20 novembre 1910, Francisco I. Madero dénonçait la fraude électorale orchestrée par le président Porfirio Díaz, et appelait à une insurrection nationale. La Révolution Mexicaine commençait.

  • La droite vénézuélienne attaque Alan Woods

    Ramon Muchacho, dirigeant du parti vénézuélien de droite Primero Justicia, a animé le 4 novembre dernier une conférence de presse de son parti, au cours de laquelle il a prétendu que notre camarade Alan Woods (photo) était « le principal conseiller idéologique » du Président Hugo Chavez et le « principal idéologue » du PSUV. S’appuyant sur l’un des nombreux articles d’Alan Woods sur le Venezuela, Muchacho a affirmé que la politique actuelle du gouvernement bolivarien, et notamment les récentes expropriations, est une conséquence des « conseils » d’Alan.

  • L’insurrection de Laâyoune : notre position

    French translation of Western Sahara: The uprising in El Aayiún – our position (November 22, 2010)

  • Où va Cuba ? Vers le capitalisme ou vers le socialisme ?

    Le 13 septembre dernier, la Centrale des Travailleurs de Cuba (CTC) annonçait une série de mesures qui vont sérieusement affecter l’économie du pays. La plus frappante de ces mesures est la suppression de 500 000 postes dans le secteur public d’ici mars 2011, dans le cadre d’un plan de suppression d’un million de postes. Dans la mesure où 85 % des travailleurs cubains, soit 5 millions, sont employés dans le secteur public, cela reviendrait à supprimer 20 % des emplois de ce secteur, dont 10 % au cours des six prochains mois.

  • Grand succès de la tournée d’Alan Woods en France

    Les statuts du PCF prévoient la formation de « réseaux », au sein du parti, dans le but de stimuler la discussion démocratique entre militants. Du 11 au 16 octobre, l’un de ces réseaux, Renforcer le PCF, renouer avec le marxisme, a organisé une série de réunions publiques avec le théoricien et militant marxiste Alan Woods. La Riposte soutenait cette initiative, qui a rencontré un grand succès.

  • France: Retraites - premier bilan d’une grande lutte

    La lutte contre la casse des retraites a montré que l’immense majorité de la population s’opposait à cette contre-réforme. La participation aux grandes journées de mobilisation est montée jusqu’à 3,5 millions de manifestants. Parallèlement à ces grandes journées, de nombreuses grèves illimitées étaient en cours dans tout le pays. De « petites » manifestations – de 2 ou 3000 personnes – ont eu lieu jusque dans des petites villes de province, où il arrivait que plus d’un quart de la population locale soit dans la rue. A travers le pays, les lycéens et les étudiants se sont lancés dans l’action. Les mobilisations s’accompagnaient souvent de débrayages de salariés dans les

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